LE PLAN DE ALES Lire plus de publications sur Calaméo VOIR LES COMMERCES D’ALES |
VILLE DE ALES |
Hôtel de Ville : place de l’Hôtel de Ville |
UN PEU D’HISTOIRE |
Cité gallo-romaine sur la voie Regordane, de Nîmes à Moulins, Alès dut faire face aux invasions barbares. Mentionnée pour la première fois dans une charte de 1200, la ville prospéra grâce au commerce et à l’industrie. Place forte protestante au cours des guerres de Religion. En 1629, alors que le duc de Rohan animait la résistance protestante dans les Cévennes, Louis XIII vint assiéger la ville qui capitula au bout de neuf jours. Richelieu accorda alors aux protestants la paix d’Alès (ou grâce) qui leur retirait leurs places fortes, mais leur confirmait les garanties religieuses de l’édit de Nantes. Afin de combattre la religion réformée, Alès fut érigé en évêché de 1692 à la Révolution. Le 19ème apporta la prospérité à la ville, grâce aux mines de charbon et de fer. Autrefois orthographiée « Alais », la ville ne prit son nom actuel qu’en 1926. Berceau de la famille Ramel, du docteur Plantier (un des fondateurs de la société scientifique et littéraire de cette ville), du poète Félix. |
A visiter : |
– Cathédrale Saint Jean – Fort Vauban – La Tour Vieille – La Colline de l’Ermitage – Mine Témoin (galerie de charbon) – Musée Pierre-André Benoit (art contemporain et annexe de la Bibliothèque Nationale) – Musée du Colombier (Archéologie et peinture classique) – Musée Minéralogique et Paléonthologie de l’Ecole des Mines (minéraux et fossiles) – Musée du Scribe – Musée du Jeu Ancien 1900-1960 – Musée de la Miniature |